Tribune Nice Magazine N°21 / Mars-Avril 2024
En décembre 2000, le gouvernement Jospin a fait adopter la loi sur « la solidarité et le renouvellement urbains » (SRU), dictée par le ministre communiste Jean-Claude Gayssot. Cette loi impose aux villes un quota de 25% de logements sociaux, sous peine d’amende.
Sous couvert de « mixité sociale » et de « vivre ensemble », nous savons tous que ce sont les conséquences néfastes de l’immigration de masse qui sont ainsi « réparties » dans nos quartiers.
Aucun gouvernement UMP ou LR n’a osé revenir sur cette loi socialo-communiste et, à Nice, Christian Estrosi s’y est jusqu’à ce jour toujours plié. Pour notre part, depuis que notre groupe a pris la tête de l’opposition municipale, nous avons toujours dénoncé cette loi et voté contre son application.
Aujourd’hui, l’État a décidé que Nice ne remplissait pas assez vite ses quotas de logements sociaux et a donc choisi de s’immiscer dans ce qui relève des prérogatives du conseil municipal. En effet, pour la première fois, le Préfet, a procédé début janvier à la préemption d’un immeuble situé à deux pas du parc Chambrun pour y créer des logements sociaux.
Face à l’inquiétude légitime des riverains de la paisible impasse Laurenti, en plein coeur de Saint-Maurice, j’ai demandé au Préfet de revenir sur sa décision et, à défaut, des garanties quant à l’attribution future de ces logements, en les réservant, par exemple, au personnel du CHU ou des forces de l’ordre.