Un étudiant de 18 ans a été violemment agressé à proximité de la gare Nice-ville ce mardi matin, à l’angle des avenues Thiers et Jean Médecin. Après avoir reçu un coup de cutter au visage, le jeune homme a dû être pris en charge par les pompiers. Le coupable ? Un Algérien sous le coup d’une Obligation de quitter le territoire français datant du mois d’août ! Connu pour des faits de vol aggravé et de vol à la tire, il aurait même été arrêté cet été pour vol et séquestration de personnes âgées à Fabron… avant d’être remis en liberté.
Cette énième agression est bien entendu la conséquence du laxisme migratoire et judiciaire que les Niçois subissent au premier plan. Viols, agressions au couteau, cambriolages, trafic de drogue, règlements de compte… les actes de délinquance commis par des étrangers dans notre ville sont devenus innombrables. Ces violences sont aussi une démonstration supplémentaire de la dégradation de la sécurité à Nice, malgré l’autosatisfaction permanente de Christian Estrosi.
Depuis des années, j’alerte sur la situation dans le centre-ville et notamment autour de l’avenue Jean Médecin, réclamant qu’un poste de Police municipale soit installé dans ce secteur devenu le reflet de l’anarchie migratoire et de l’insécurité, conséquences des politiques menées par le gouvernement soutenu par Christian Estrosi.
L’agression de cet étudiant par un clandestin n’est pas un fait divers mais s’inscrit bien dans une réalité nationale et locale : jeudi, je tiendrai une conférence de presse sur le poids de la délinquance étrangère à Nice.