COMMUNIQUÉS
Elisabeth Badinter et l’ancien ministre de la Santé Mattéi signataires d’une tribune dénonçant les dérives du Planning familial
[Communiqué du 19 avril 2023]
Une tribune, parue dans l’hebdomadaire Le Point le 16 avril et co-signée par de nombreux médecins et universitaires, dénonce les dérives du planning familial en affichant un titre sans ambiguïtés : « Planning familial : nos impôts, leur intox ».
« Ce n’est plus une dérive mais un naufrage » peut-on ainsi lire dans ce texte, pointant en particulier la « conversion à l’intersectionnalité » de l’association, devenue « un refuge pour les transactivistes », qui s’inquiète en particulier de l’impact de ce militantisme auprès des plus jeunes. On peut ainsi lire que « le Planning familial s’est disqualifié et ne devrait plus être autorisé à intervenir auprès des écoliers, des collégiens et des lycéens » et même que « les formations du Planning familial constituent un danger pour la santé publique ».
Rappelons que le naufrage ainsi dénoncé est subventionné à hauteur de 2,8 Millions d’euros par l’Etat et les collectivités territoriales, parmi lesquelles la Région Provence-Alpes-Côte et la Ville de Nice.
Pour nous être opposés aux interventions du Planning familial dans les écoles niçoises et avoir interrogé son financement public, nous avons subi au Conseil municipal de virulentes attaques de la part de certains élus pressés de se draper dans leur vertu.
Ces mêmes élus s’en prendraient-ils aujourd’hui de la même façon aux signataires de cette tribune et notamment à Elisabeth Badinter ou Jean-François Mattei, ancien ministre de la Santé, de la Famille et des Personnes handicapées, qui défendent EXACTEMENT la même position dans cette tribune ?
Il est grand temps que l’on puisse débattre au sein de nos instances, dans un climat apaisé, des dérives du Planning familial. Aucune association n’est sacrée.
Philippe Vardon
Conseiller municipal et métropolitain, président du groupe Retrouver Nice
Conseiller régional
Geneviève Pozzo di Borgo
Conseillère municipale et métropolitaine
Membre du Conseil d’administration du Centre Communal d’Action Sociale
Rejet de l’ultime recours contre la destruction d’Acropolis : nous nous serons battus jusqu’au bout !
[Communiqué du 5 avril 2023]
Président des principaux groupes d’élus d’opposition au Conseil municipal de Nice et au Conseil métropolitain, je prends acte du rejet par le Tribunal administratif de l’ultime recours contre la destruction du palais des congrès Acropolis. Je tiens à saluer la détermination de Thierry Venem, élu à mes côtés, qui a porté ce recours comme riverain. Je n’ai néanmoins désormais pas d’autre option que de considérer que ce rejet met un terme à plus de 3 ans de lutte.
Dès le 19 janvier 2020, alors que Christian Estrosi venait d’annoncer (au palais Acropolis !) sa volonté de destruction en lançant la campagne pour sa réélection, j’affirmais l’opposition totale de la liste « Retrouver Nice » à ce projet et publiait un communiqué de presse titrant « Détruire Acropolis pour bâtir son « Estropolis » ? La dangereuse dérive de Christian Estrosi ». J’affirmais alors déjà : « je ne peux pas souscrire à une vision qui consiste à retirer petit à petit toutes les activités économiques et culturelles du cœur de ville ».
Consacré par les électeurs niçois deuxième force politique municipale, dès le soir des résultats puis à nouveau lors de ma première intervention au Conseil, je demandais à Christian Estrosi de consulter les Niçois par référendum. Nous savons tous pourquoi il n’a jamais accédé à cette demande : il aurait été désavoué par les Niçois, majoritairement attachés à Acropolis et opposés à sa destruction. Les sondages réalisés par la municipalité elle-même laissaient pressentir un tel résultat.
Depuis l’annonce de ce projet, nous avons donc mené ce combat avec constance et cohérence.
Des affiches collées aux tracts distribués, des rassemblements aux réunions publiques, des courriers échangés avec les ministères aux recours devant la justice ; il serait difficile de dénombrer les actions que nous avons initiées ou accompagnées. Ou accompagnées, car dans cette lutte nous avons toujours tendu la main et travaillé à un front uni dans l’intérêt des Niçois. C’est dans cette optique que nous avons soutenu les combats de Mme Bayard pour préserver l’intégrité de l’oeuvre architecturale de son père, que j’ai pu rendre hommage à l’engagement du socialiste Patrick Allemand, et que nous avons même fait « banderole commune » avec l’élue écologiste Sylvie Bonaldi et les associatifs réunis autour d’elle.
Je me dois en revanche de souligner l’attitude du député de la 1ère circonscription, Eric Ciotti. Je considère qu’il porte une lourde responsabilité dans la destruction d’Acropolis ! En premier lieu, parce qu’il a d’abord soutenu cette démolition, en apportant son soutien à Christian Estrosi lors des élections municipales 2020 et même en faisant voter des décisions du Conseil départemental accompagnant ce projet. Ensuite, parce que son opposition à la destruction se sera finalement réduite à un rassemblement, lui assurant sans aucun doute une belle couverture médiatique mais ne suffisant certainement pas à gagner la bataille. Cherchant à tirer la couverture à lui, se refusant à toute action concertée (avec nous comme avec quiconque d’autre), Eric Ciotti a témoigné une fois de plus de sa versatilité et surtout de sa propension à faire passer les petits calculs de politique politicienne avant tout.
Si je considère toujours que la destruction d’Acropolis est une lourde erreur, j’espère désormais que le projet de palais des congrès annoncé au Port pourra néanmoins permettre de l’atténuer en maintenant une offre événementielle (congrès mais aussi spectacles) en cœur de ville. C’est dans cette optique que nous avons accueilli favorablement cette annonce, tout en affirmant notre vigilance sur les aspects architecturaux et financiers. Je suis intimement persuadé que sans notre combat, ce projet n’aurait jamais vu le jour !
Philippe Vardon
• Conseiller municipal et métropolitain, Président du groupe des élus d’union de la droite et des patriotes Retrouver Nice
• Conseiller régional
• Coordinateur régional de Reconquête!
60% de clandestins parmi les dealers des Moulins : l’aveu d’un échec sécuritaire et migratoire d’Estrosi et ses amis !
Dans un courrier adressé à son ami Gérald Darmanin, Christian Estrosi propose « la mise en place urgente d’un centre de rétention administrative ».
En dénonçant le fait que « 60% des trafiquants de drogue interpelés aux Moulins sont des clandestins », Christian Estrosi reconnaît à la fois l’échec de sa politique de sécurité dans ce quartier désormais aux mains des voyous et des dealers, mais aussi celui de la politique du gouvernement, qu’il soutient, en matière de lutte contre l’immigration massive et illégale.
Nous n’avons cessé de dénoncer l’implication des étrangers, et notamment des clandestins, dans les crimes et délits commis dans notre département. Rappelons d’ailleurs que, d’après un rapport du bâtonnier des avocats, 60% (décidément) des détenus de la prison de Nice elle-même sont étrangers.
La proposition de Christian Estrosi est aussi tardive qu’elle est louable. Elle n’aura d’utilité que si elle est la salle d’attente des expulsions rapides vers leur pays d’origine de ces trafiquants qui gangrènent notre ville et notre pays !
Philippe Vardon
• Conseiller municipal et métropolitain, Président du groupe des élus d’union de la droite et des patriotes Retrouver Nice
• Conseiller régional
• Coordinateur régional de Reconquête!
🏛️Et si la justice sauvait Acropolis ?
Nous l’avions dit : nous ferons tout pour empêcher la démolition d’Acropolis et ses graves conséquences économiques, environnementales et culturelles.
Notre groupe d’élus municipaux d’union de la droite et des patriotes est à l’initiative d’un nouveau recours administratif contre la destruction d’Acropolis !
Ce recours est né d’une action conjointe avec des écologistes sincères, des riverains, des commerçants et des employés de la régie Acropolis.
Eric Ciotti n’a en revanche pas souhaité s’associer à cette démarche. C’est un comportement regrettable, qui démontre qu’il peine décidément à faire passer l’intérêt de Nice avant les calculs politiciens.
Je vous tiendrai informés de l’avancée du recours. Vous pouvez compter sur nous, jusqu’au bout.
Philippe Vardon
• Conseiller municipal et métropolitain, Président du groupe des élus d’union de la droite et des patriotes Retrouver Nice
• Conseiller régional
• Coordinateur régional de Reconquête!
Censure de Stanislas Rigault : quand l’Université de Nice se couche devant l’extrême gauche – [Communiqué du 11 mars 2023]
Ce jeudi 9 mars, Stanislas Rigault – président de Génération Z, les jeunes de Reconquête! – était invité par l’association étudiante UNI pour une rencontre-débat à la faculté de droit. A 4 heures de l’événement, le Président de l’Université Jeannicke Brisswalter a annoncé son annulation, prétextant « un risque de trouble à l’ordre public ». En réalité, M. Brisswalter a cédé aux pressions des groupuscules d’extrême gauche et de quelques professeurs qui réclamaient depuis plusieurs jours cette censure.
Ce dernier avait pourtant, tout comme le doyen Xavier Latour, accepté cette rencontre et même défendu son maintien au titre de la liberté d’expression. Le référent éthique de l’Université, le professeur de droit Yves Strickler, en avait fait de même, à travers une réponse brillamment appuyée sur le plan juridique.
Rappelons quelques faits importants :
– La rencontre-débat avec Stanislas Rigault était organisée par l’UNI, association étudiante représentative comptant des élus au sein de l’Université et de la faculté de droit de Nice.
– Stanislas Rigault est le représentant d’un parti dont le candidat à l’élection présidentielle – Eric Zemmour – a réalisé 14% à Nice et dont les élus locaux, à travers les groupes que je préside, sont la première force d’opposition tant au Conseil municipal qu’au Conseil métropolitain.
A contrario, quelle est la représentativité et la légitimité démocratique des groupuscules ayant obtenu cette scandaleuse annulation ?
Quant au prétexte du « risque de trouble à l’ordre public » brandi par l’Université, celui-ci apparaît encore plus grotesque désormais.
Jeudi à 18h, alors même que les groupuscules ayant appelé à manifester devant la faculté contre la venue de Stanislas Rigault avaient maintenu leur appel à la mobilisation, ce sont en tout et pour tout SIX militants d’extrême gauche qui étaient présents. C’est moins que le nombre de camions de police mobilisés ! A ce titre, on peut aussi légitimement se demander pourquoi le Préfet des Alpes-Maritimes n’a pas interdit cette manifestation hostile, puisque celle-ci entendait entraver la liberté de réunion (délit visé par l’article 431-1 du Code pénal) et qu’elle n’avait pas été préalablement déclarée en préfecture (article 431-9 du Code pénal).
Signalons, enfin, que la rencontre de l’UNI autour de Stanislas Rigault s’est bien tenue, réunissant plus de 100 jeunes dans une brasserie du centre-ville sans – évidemment – le moindre incident.
Cette annulation est un acte de soumission qui crée un précédent gravissime. Cela signifie donc que désormais une poignée de militants d’extrême gauche peuvent décider de qui aurait le droit de s’exprimer au sein de l’Université. Car évidemment, ceux-ci ne voient aucun problème en revanche à ce que des députés LFI/NUPES fassent le tour des facultés pour inciter à la grève et même à l’émeute !
J’ai écrit au Président de l’Université tout comme au Préfet pour leur faire part de ma plus grande indignation face à leur attitude dans cette affaire.
Si Jeannick Brisswalter a pris soin d’annuler l’événement tardivement pour qu’aucun recours devant le Tribunal administratif ne soit possible le jour-même, nous étudions désormais toutes les voies judiciaires pour faire condamner tant les excès de pouvoir de l’administration de l’Université que les entraves à la liberté de réunion des groupuscules. Si l’Université se couche face à l’extrême gauche, pas nous : nous n’avons pas dit notre dernier mot !
Philippe Vardon
• Conseiller municipal et métropolitain, Président du groupe des élus d’union de la droite et des patriotes Retrouver Nice
• Conseiller régional
• Coordinateur régional de Reconquête!
Non à l’augmentation de la « taxe-poubelle » ! [Communiqué du 11 mars 2023]
La hausse de la « taxe-poubelle » (TEOM*) annoncée par Christian Estrosi lors du débat d’orientation budgétaire à la Métropole Nice Côte d’Azur constitue une charge supplémentaire de 23 millions d’euros qui pèsera sur TOUS les ménages et les entreprises du territoire métropolitain, dans une période où nos concitoyens peinent à joindre les deux bouts.
Les habitants de la métropole paient ainsi les choix contestables de Christian Estrosi en matière de gestion de déchets, et notamment le choix de ses prestataires :
– celui de Veolia dans le marché de l’UVE de l’Ariane, qui représente à lui tout seul un coût supplémentaire net de 61,5 millions d’euros ;
– celui d’ENSO qui, au lieu de valoriser les encombrants récoltés, les achemine illégalement en Espagne comme l’a révélé un reportage de M6.
À titre de comparaison, Valérie Delpech, au nom des élus d’union de la droite et des patriotes du groupe Une autre Voie pour la Métropole, a rappelé en conseil métropolitain que la TEOM est de 8% à Toulouse et de 4,93% à Lyon, tandis qu’elle sera désormais de 10,46% pour la Métropole niçoise !
Dans le contexte actuel, la solution budgétaire c’est de gérer les finances publiques « en bon père de famille » : prioriser les dépenses, faire des économies et limiter le recours à l’emprunt. Ce qui commence par suspendre les grands projets niçois de Christian Estrosi qui pénalisent l’ensemble des habitants des 51 communes de la Métropole.
(*) TEOM : taxe d’enlèvement des ordures ménagères
Philippe Vardon
• Conseiller municipal et métropolitain, Président du groupe des élus d’union de la droite et des patriotes Retrouver Nice
• Conseiller régional
• Coordinateur régional de Reconquête!
Acropolis : Sylvie Bonaldi et Retrouver Nice suscitent un recours citoyen
Après des mois de bataille, les opposants les plus déterminés à la destruction d’Acropolis et à la mise en péril des activités de congrès et de spectacle à Nice, ont déposé cette semaine un recours administratif contre le permis de démolir.
Grâce au travail acharné de l’écologiste Sylvie Bonaldi, et au soutien du groupe d’élus dirigé par Philippe Vardon, une requête conjointe en annulation a été formulée par un groupe de riverains.
Regrettant l’absence à leurs côtés du député de la circonscription et des autres représentants politiques ayant exprimé leur opposition sans, toutefois, juger utile d’unir leurs forces, ils ont soulevé dans leur recours :
• l’absence de réponse explicite du ministre de la culture à la demande de désaffectation des salles de spectacle du Palais Acropolis,
• le coût environnemental de cette destruction et la mise en danger des chauve-souris qui nichent dans la structure du Palais.
Philippe Vardon
• Conseiller municipal et métropolitain, Président du groupe des élus d’union de la droite et des patriotes Retrouver Nice
• Conseiller régional
• Coordinateur régional de Reconquête!
Mutuelle communale : avec SOLIMUT, Christian Estrosi fait le choix de soutenir SOS Méditerranée
Le 13 octobre dernier, nous avons avons voté contre le choix de la SOLIMUT dans le cadre de la mise en place d’une mutuelle solidaire pour les Niçois.
Nous avons soutenu, soutenons et continuerons de soutenir le principe même d’une mutuelle solidaire pour les Niçois, tout comme nous soutenons les mesures sociales qui permettront d’améliorer leur quotidien.
Ce n’est donc pas le principe mais le choix de l’organisme auquel nous sommes fermement opposés.
La SOLIMUT est une mutuelle politiquement engagée. Elle est un soutien actif et assumé de SOS Méditerranée au point qu’elle invite ses membres à faire un don et même à en devenir un parrain.
Alors que le partenariat entre la ville et la SOLIMUT est effectif depuis ce jour, la cause de la récente annulation par la cour administrative d’appel de Paris, d’une subvention de 100.000 € à SOS Méditerranée, votée par la mairie de Paris, devrait interroger Christian Estrosi.
En effet les magistrats ont estimé qu’en accordant cette subvention, « le Conseil de Paris doit être regardé comme ayant entendu prendre parti et interférer dans des matières relevant de la politique étrangère de la France et de la compétence des institutions de l’Union européenne, ainsi que dans des différends, de nature politique, entre Etats membres »
En choisissant la SOLIMUT comme prestataire pour la santé des niçois, Christian Estrosi a donc choisi de soutenir la mutuelle et par conséquent sa « politique solidaire » de soutien assumé à l’association pro-migrants SOS Méditerranée.
Notre ville a été marquée par plusieurs attaques terroristes islamistes. Il n’est pas inutile de rappeler que le terroriste de la basilique Notre Dame était un clandestin tunisien ayant suivi la voie de l’immigration clandestine en Méditerranée.
C’est aussi à ce titre que nous condamnons le choix d’une mutuelle qui facilite l’immigration massive et illégale.
Nous demandons, une nouvelle fois, à Christian Estrosi de renoncer à ce partenariat et de relancer la procédure pour désigner une nouvelle mutuelle.
Philippe Vardon
• Conseiller municipal et métropolitain, Président du groupe des élus d’union de la droite et des patriotes Retrouver Nice
• Conseiller régional
• Coordinateur régional de Reconquête!
Noms de rue : Philippe Vardon demande qu’un espace public soit dédié à la policière Clarissa Jean-Philippe
En tant que membre de la Commission d’attribution des noms de rue qui se réunira ce jour, j’ai sollicité son Président Jean-Luc Gagliolo afin que soit étudiée l’attribution d’un espace public dédié à la policière Clarissa Jean-Philippe (1998-2015), Brigadier de police municipale à titre posthume, victime du terrorisme islamiste.
Native de Martinique, Clarissa Jean-Philippe a été assassinée en service le jeudi 8 janvier 2015 à 8 h 04 par le terroriste Amedy Coulibaly, à Montrouge.
Intervenant sur un banal accident de la circulation, à quelques mètres d’une école juive, elle a le malheur de se trouver sur le parcours du complice des frères Kouachi, les assassins de Charlie Hebdo. Celui qui finira son parcours sanglant dans l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes, l’abat d’une rafale de kalachnikov dans le dos.
Deux parcours croisés : celui du voyou de banlieue radicalisé, celui de la jeune antillaise désireuse de servir la France et de protéger les plus faibles, elle qui avait choisi de devenir policière municipale « pour protéger sa mère des coups que lui portait son père » (Le Monde, 5 janvier 2016)
Christian Estrosi avait rendu hommage à Clarissa Jean-Philippe lors du Conseil municipal du 19 janvier 2015 : « Clarissa Jean-Philippe venue de son île de la Martinique pour défendre à Montrouge les valeurs de la République en lesquelles elle croyait ».
En honorant la mémoire de Clarissa Jean-Philippe, notre ville, durement meurtrie par le terrorisme islamiste et qui fut la première à se doter d’une police municipale, s’enorgueillirait du nom d’une jeune femme incarnant parfaitement les valeurs de notre pays. A quelques jours de la Journée de la femme, je ne doute pas de la réception positive qui sera faite à ma proposition.
Philippe Vardon
• Conseiller municipal et métropolitain, Président du groupe des élus d’union de la droite et des patriotes Retrouver Nice
• Conseiller régional
• Coordinateur régional de Reconquête!
📢Acropolis : Philippe Vardon s’adresse à Eric Ciotti et lance un appel pour un rassemblement unitaire
« Il nous reste 15 jours, alors je lance un appel solennel à Eric Ciotti : organisons tous ensemble, un rassemblement commun, unitaire, qui ne sera pas le rassemblement d’Allemand, Ciotti ou Vardon mais celui des NIÇOIS ! »
A l’issue de la réunion contre la destruction d’Acropolis organisée hier par notre groupe Retrouver Nice, j’ai tenu à m’adresser directement au député de la 1ère circonscription, dans laquelle est situé le Palais Acropolis. J’ai appelé Eric Ciotti à « prendre ses responsabilités » pour prouver que son changement de position sur la destruction d’Acropolis n’était pas uniquement lié à sa querelle avec Christian Estrosi.
Introduisant notre réunion publique, Thierry Venem l’a qualifiée de « rendez-vous de la cohérence » soulignant que je m’étais battu de manière constante, dès la campagne des élections municipales en 2020, contre la destruction du Théâtre National et d’Acropolis et que j’avais à de nombreuses reprises – en tant que chef de l’opposition municipale – réclamé la tenue d’un référendum local sur le sujet. Autre élue municipale et métropolitaine, Geneviève Pozzo di Borgo a quant à elle insisté sur l’appauvrissement constant de l’offre culturelle dans le centre de Nice, rappelant qu’Acropolis accueillait aussi spectacles et concerts. Jean Moucheboeuf est revenu sur la dimension économique et sociale, soulignant le manque à gagner que représente pour l’économie niçoise la disparition durable du tourisme d’affaires et de congrès.
En conclusion, j’ai donc rappelé que ce rassemblement était le troisième en moins d’un mois, après ceux de la gauche et d’Eric Ciotti. Si j’ai évoqué les revirements d’Eric Ciotti – rappelant que le député avait soutenu Christian Estrosi et donc le projet de destruction lors des élections municipales, et avait même fait voter des aides du Conseil départemental dans ce sens – j’ai néanmoins salué sa position actuelle. J’ai d’ailleurs rappelé que Jean Moucheboeuf et Geneviève Pozzo di Borgo avaient participé au rassemblement d’Eric Ciotti la semaine passée, « Parce que pour nous l’intérêt de Nice et des Niçois passera toujours avant les divisions partisanes ! ».
C’est précisément dans ce même état d’esprit, que j’ai donc lancé un appel à un grand rassemblement unitaire : « Ensemble, tous ensemble, je suis persuadé que nous pouvons encore faire reculer Estrosi. Ensemble, nous pouvons rassembler non pas quelques dizaines ou centaines de Niçois chacun de notre côté mais des milliers. »
Cette main tendue, Eric Ciotti devra donc la saisir avant le 28 février, fin du sursis offert par la justice suite à l’action des salariés. La balle est dans son camp ! S’il ne le faisait pas, alors nous serions contraints de constater que son opposition récente à la destruction d’Acropolis tient davantage de la posture politique, voire politicienne, que de la défense de l’intérêt général…